Elevé par ma mère dans l’amour des peintres «maudits»

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5154Sans titre - 302je suis allé à l’école tardivement dans un village de la Sarthe, Moncé en Belin, puis au Mans.

En 1978, j’entre à l’Ecole des Beaux-Arts du Mans à une période dominée par l’art conceptuel et le quator (B.M.P.T. : Buren, Mosset, Parmentier, Toroni), loin de mes attentes en terme d’enseignement pictural, plutôt classique tel que je le concevais à l’époque.
Je peins et dessine de manière épisodique jusqu’en 1982.

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*De 1982 à 1983654564Sans titre - 309
Réalisation de fresques à l’aérographe dans quelques cafés-théâtres du centre de Paris : premières influences de la figuration narrative (Henri Cueco et Eduardo Arroyo) et de la figuration libre (Robert Combas et Hervé Di Rosa) dans mon travail .

Janvier 1986 naissance d’une jolie petite fille que l’on nommera Mélodie à l’instar de son premier prénom Soliane que je conserverai comme pseudonyme.

Mélodie

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*De 1986 à 1993
Atelier Verrières (un bel espace de 300m2)
Participation à un collectif d’artistes
rue de Châtillon PARIS 14e.

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C’était la pleine période de la figuration libre, nous avions
la visite d’artistes du mouvement à l’atelier comme
François Boisrond.

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Sous influence de la « Figuration libre », création d’une suite à l’acrylique sur kraft et sur toile (format 1,80m x 2,30m environ)

Toiles représentant l’horizon indépassable formé des milliers de regards qui, de façon incessante, nous interpellent tout au long de la vie. Foule, attroupements, murs obsédants de visages mêlés.1245

La foule, la nuit,
telle que nous la pratiquonsSans titre-4

dans les festivals d’été !

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Suite…